
«Les régions polaires comptent parmi les plus belles du globe. C’est également dans ces régions que la nature adresse en premier ses signaux d’alarme aux peuples qui y vivent de la dégradation de la couche d’ozone aux effets de la pollution chimique persistante», souligne Shafqat Kakakhel, directeur exécutif adjoint en charge du programme des Nations unies pour l’Environnement (PNUE). Il y eut déjà trois années internationales polaires : 1882-1883, 1932-1933 et 1957-1958 et «à peu près 60% de ce que l’on sait sur les régions polaires, en particulier sur l’Arctique, provient de l’effort de recherche effectué en 1958. La différence, aujourd’hui, c’est que la nouvelle année polaire s’inscrit dans un contexte de réchauffement climatique», explique Louis Fortier, directeur scientifique d’Arctic Net, réseau canadien de recherche sur l’Arctique.
>rfi
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